Les communautés humaines ont certains liens importants avec le passé via les métiers classiques tels que : le tissage, la poterie, la vinification, la taille des diamants, l'architecture et même la fabrication de pâtes !

Le caractère unique de la main humaine travaillant avec des matériaux dans leur artisanat traditionnel crée un dialogue ancien entre l'artisan et le produit. L'héritage de ces compétences nous lie à l'histoire de manière significative.

Malgré les avancées technologiques de grande puissance, «Hands on» en tant qu'expérience physique et processus créatif est toujours la relation tactile de l'artisan aux matériaux sous ses doigts agiles. Du tisserand de lin au sertisseur de diamants, ces interactions ont une « poétique » intrinsèque et une beauté qui leur est propre.

Lorsqu'une compétence est associée à une autre, la magie opère ! Un tel mariage engageant est maintenant arrivé avec le partenariat des boîtes conçues sur mesure de Madovar et le développement du BRACELET I REMEMBER .

Bonnie Glover

Ce bijou unique et important a été conçu par Bonnie Glogover à la mémoire de son défunt père bien-aimé, le survivant de l'Holocauste, Stanley (Szlamek) Jackson Glogover, (1925 -2013), mais a été créé pour honorer toutes les victimes et survivants du génocide dans le monde entier, passé et présent.

« J'ai ressenti le besoin d'un bijou fait de métaux brillants », dit Bonnie, « qui commémorerait les expériences de guerre de mon père. La prière et la foi l'ont aidé à survivre deux ans à Auschwitz. Mais, puisque le génocide peut se reproduire et se reproduit, mes partenaires et moi avons pensé à un bracelet qui vénérerait chaque victime du nettoyage ethnique.

Après de nombreuses discussions entre ses collègues, le bracelet est né des idées de son partenaire et bijoutier, Philip J. Weisner, (également descendant de survivants de la Shoah), aidé par les forgerons qualifiés de RIVA Precision Manufacturing à Brooklyn, NY.

« Dans mon concept original de l'apparence du bracelet », explique Philip, « j'ai fait plusieurs croquis, à la recherche d'une forme qui évoquerait ce que signifiait être retiré de sa patrie, dépossédé, exilé et pire encore.

Mon interprétation du design devait être simple mais symbolique.

Le résultat a été un bracelet dont le motif est dérivé des voies ferrées de la tête de ligne de Birkenau où des milliers de prisonniers, représentant de nombreuses confessions et nationalités, ont été sélectionnés pour vivre ou périr. Le bracelet est maintenant un symbole résonnant de défi et d'espoir.

Philip J. Weisner,

Philip et RIVA ont tous deux utilisé certaines méthodes de l'ancien monde dans la production de bijoux combinées à des applications de haute technologie. Les croquis de Philip ont développé une direction générale jusqu'à ce qu'un dessin émerge. Le modèle du bracelet a finalement été créé via un programme de CAO avec le moule en cire généré par une imprimante 3D. Cela est devenu la pièce réelle grâce aux processus traditionnels de la méthode de moulage à la cire perdue. Le bracelet est littéralement né dans le feu et poli à la main par les artisans de RIVA.

La collection I REMEMBER BRACELET est désormais déclinée en argent, or jaune, rose et blanc 18 carats et en platine. La phrase "I REMEMBER" est inscrite à l'intérieur, avec un espace autorisé pour graver le nom d'un être cher ou une date d'anniversaire spéciale.

« Un bijou aussi rare avait besoin d'un écrin tout aussi splendide. Un produit avec le même dévouement à l'artisanat que le bracelet, aussi élégant et mémorable que l'objet précieux qu'il contiendrait. Le choix naturel s'est porté sur Madovar Packaging Inc. », explique Bonnie.

On pourrait dire qu'il existe un fier héritage reliant l'engagement de Madovar aux compétences raffinées et à la précision et les siècles de pratiques artisanales de la culture syrienne.

Boîte à fermeture magnétique Madovar noire de style livre avec insert personnalisé qui contient le bracelet I Remember

« Quand j'étais enfant en Syrie », raconte Bashar Madwar de Madovar, « les créations des artisans syriens étaient tout autour de moi sur le marché. Ceux-ci comprenaient le brocart de Damascène : l'art de tisser la soie avec des fils d'or et d'argent à l'aide d'une navette traditionnelle en bois ; meubles marquetés avec des placages en bois de mosaïque utilisant du noyer, de l'eucalyptus et du palissandre, chacun une couleur unique pour donner un effet géométrique. Ces mosaïques incluraient souvent des incrustations de nacre et d'autres coquillages.

Le président de Madovar, Bashar Madwar

"Les épées des anciens guerriers syriens sont légendaires", poursuit Bachar, "à cause de l'acier de Damas qui est utilisé pour les fabriquer à ce jour. Une technique séculaire tresse des brins d'un alliage fondu ensemble, forgé et martelé pour créer une lame résistante. Souvent, ces épées sont décorées de lignes de poésie arabe tracées en incrustation d'or.

« Il n'est pas étonnant que le but et la conception du BRACELET I REMEMBER aient trouvé un allié empathique dans la société Madovar », déclare Bonnie.

Jackie Miller, vice-présidente des ventes et du développement commercial aux États-Unis, qui dirige le bureau de Madovar à New York, commente ce qui s'est passé lorsque le besoin d'une boîte est venu avec le bracelet. "Bonnie a trouvé Madovar sur Internet et quand elle m'a envoyé une image du bracelet, cela m'a littéralement coupé le souffle", déclare Jackie. « Elle a eu l'idée géniale que la boîte ressemble à un livre en raison de la nature narrative du concept du bracelet. C'est vraiment un dispositif de narration, conçu pour évoquer une conversation sur sa signification entre le porteur et l'observateur.

Grâce au mariage de la technologie et de l'emballage artisanal de Madovar, la boîte I REMEMBER BRACELET'S a pris forme. Bashar explique : « Il est important de comprendre que lorsque nous concevons et découpons à la machine les matériaux de tout emballage que nous produisons, la technologie utilisée est complémentaire à l'assemblage manuel qui suit. Les deux processus sont essentiels et harmonieux. Avec leurs doigts sensibles et leur patience innée, nous avons constaté que nos employées sont bien adaptées à l'étape de l'assemblage.

Le résultat? Une belle structure noire en forme de livre rendue dans des matériaux qui présenteraient le bracelet sur un oreiller légèrement surélevé avec une fente pour contenir un tournevis personnalisé. Le papier extérieur de la boîte fait écho à la fumée argentée d'un train en mouvement.

Boîte à fermeture magnétique Madovar noire de style livre avec insert personnalisé qui contient le bracelet I Remember

« Certains de ces chiffres délicats appartiennent à des réfugiés syriens embauchés et formés par Madovar. Des femmes qui ont peut-être été responsables de l'exécution finale de la boîte I REMEMBER BRACELET'S », poursuit Bonnie.

Anna Ray Jones

Comme pour toute bonne histoire, la boîte contient le récit imprimé de la naissance du bracelet écrit par l'auteur de l'Holocauste (et troisième partenaire de Bonnie), Anna Ray-Jones. Elle a également inclus un insert de parchemin semi-opaque récitant les mots "Je me souviens" en 40 langues.

"Il était important que les éléments de la boîte portent le même pouvoir narratif que celui du bracelet", commente Anna. « Le but était de relier les deux esthétiquement. Le design époustouflant de Madovar était l'atout parfait pour atteindre cet objectif.

"Nous espérons que la boîte se présentera sur une table basse ou une étagère", poursuit Bonnie. "Je voulais qu'il raconte une histoire et lance une conversation, tout comme le bracelet. Madovar a habilement interprété ma vision de la boîte comme un livre.

L'ouvrir emmène l'utilisateur dans un voyage de découverte jusqu'à ce qu'il arrive à la brillante surprise qu'est le bracelet.“

Un pourcentage de tous les achats du BRACELET I REMEMBER sera reversé à la Fondation USC Shoah. Pour découvrir la mission, la collecte de témoignages et l'initiative Stronger Than Hate de l'USC Shoah Foundation, rendez-vous sur : https://sfi.usc.edu/ .

I Remember and Company enverra également chaque mois des fonds de contrepartie provenant des ventes du bracelet à une autre organisation caritative de défense des droits de l'homme.

"Cela semble une coïncidence sublime qu'un bracelet dédié à de telles causes, conçu par les descendants de survivants de l'Holocauste, soit enfermé dans une magnifique boîte conçue et fabriquée par des artisans émigrés et réfugiés de la Syrie déchirée par la guerre", explique Bonnie.

Le BRACELET I REMEMBER a son fondement dans de tels talents, (à la fois spirituels et industriels). La boîte et le bracelet se complètent, ils renferment un message d'honneur pour le passé, d'espoir pour l'avenir et d'appel à un dialogue ouvert entre diverses personnes et générations.

Par Anna Ray-Jones

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Commentaires

  • David Kaplan:

    From the very beginning I was moved by the creation of this wonderful idea and its purpose. I love the way everything comes together like a book!! May G-D bless you all.

    21 octobre, 2019

  • Arline Udis:

    Brilliant brilliant.
    Perfect perfect

    21 octobre, 2019


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